Un récit doux, sensuel et mystérieux,parfait pour la saison !
Un magnifique récit plein de couleurs, de sourires et de beaux sentiments.
Ce petit bijou nous raconte l’histoire atypique de Max, un jeune homme très très discret…
Je me permets de vous présenter le resumé de la quatrième de couverture, pour une fois qu’il est bien pensé !
Léger comme quelques notes de musique en l'air
Une belle rousse, un grand timide et une dimension d’écart.
Sa timidité maladive fait qu’il ne marque que peu les esprits. Et pour dire, sa psy en arrive à oublier son cas, son coloc loue sa chambre un matin ayant oublié jusqu’à son existence…
Lassé de toutes ces mésaventures, notre héro monte se réfugier le temps d’une nuit chez sa voisine, Léonie.
Après une nuit mouvementée, car oui il semblerait que Léo (pour les intimes) semble avoir son lot de soucis à gérer, Max découvre qu’il est carrément devenu invisible. Pour de vrai.
Après quelques déboires et pétages de plomb (légitimes) suite à sa condition exceptionnelle, Max va élire domicile chez Léo.
Son invisibilité aidant , la cohabitation va se faire des plus simplement, tout en apportant a nos protagonistes une énergie subtile mais entraînante qui les conduira vers un épanouissement insoupçonné.
Je me retiendrais d’en dire plus et de vous gâcher le plaisir de la lecture.
Sachez juste que le récit est audacieux et plus surprenant qu’il n’y parait au premier regard.
A la croisée des ondes, de l'aquarelle, du soleil et de la folie !
Un trait superbe et une intrigue maitrisée
J’ai vraiment adoré lire cet ouvrage, la nature du récit est originale et surtout superbement bien abordée. Toutes les thématiques présentes sont traités avec délicatesse et maestro, des éclats de rire jusqu’au petit serrement de poitrine dans les moments les plus intimes.
Les questions de l’amour, de notre place dans la société ou même de la sexualité sont ici développés de façon subtiles et bien ancrée dans notre époque.
Vero Cazot signe ici un très chouette scénario souligné par la plume légère de Camille Benyamina
Un trait souple, léger mais aussi nerveux que les personnages, comme pour souligner les failles de chacun ainsi que leurs questionnements.
En bref, tous ces jolis mots pour dire que c’est une BD qu’on aimera lire et faire découvrir.
Typiquement la BD à lire au calme le soir dans son canapé ou sur un transat au bord du lac,avec un petit air de ukulélé et un grand verre de thé glacé.
Et que l’on se surprend à lire d’une traite sans voir le temps passer.
Un pur moment de douceur.
Quand y'en a plus, il y en a encore 😉
Je vous souhaite une bonne lecture, de bonnes vacances et encore quelques baignades !
Entre deux plongeons, n’hésitez pas, « Les petites distances » et ses 150 pages n’attendent que vous !!
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