Noël arrive bientôt, et les éditeurs commencent à dégainer leurs gros titres. Le film sur le phénix noir permet aux éditeurs de vignettes à coller de ressortir de la naphtaline des sagas classiques. Heureusement qu’il y a des films de super-héros, sinon le comics aurait disparu des rayons.
Ce gros volume luxueux de 440 pages retrace donc la partie du club des damnés de Jim Byrne et Chris Claremont mais aussi la bataille avec l’empire sh’iar et sa résurrection dans les pages des 4 fantastiques. Puis la création de X-factor. Oui, nous pouvons le dire Panini a fait les choses bien et en grand. Ce classique incontournable se doit figurer dans n’importe quelle bibliothèque de comics.
Les dessins de John Byrne sont au top et Chris Claremont a créé une saga culte. On appréciera tout particulièrement la présence du What If ? (Et si en langue de voltaire) consacré au phénix.
On prend les même et on recommence avec le talent un peu en moins. Phenix revient dans le corps de Jean Grey (qui était décédée) ce qui pose un problème de conscience à ses anciens amis. Doivent-ils la tuer ?
Le filon de l’oiseau flamboyant est usé jusqu’à la moelle. Le scénario plus qu’insipide de la première histoire n’est pas sauvé par les dessins passables de Tyler Kirkham pour la deuxième. Du réchauffé donc pour cette dinde de Noël, a vous de voir si vous voulez l’intégralité de ce qui sort sur l’oiseau de feu.
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