Ca y est, nous y sommes… la fin de l’année s’approche à grands pas…
Alors la question était de trouver avec quel dernier titre je souhaitais remplir ma bédéthèque idéale pour 2013. Et le grand gagnant est Loisel, avec sa série Le Grand Mort !
L’histoire n’est pas des plus simples à retranscrire, encore moins à résumer… Vous lisez non seulement une fiction, très bien illustrée certes, mais également une philosophie, une façon de penser qui peut être adaptée dans ce monde.
Il existe le peuple des hommes qui, en partenariat avec l’univers parallèle du « petit peuple » a pour mission de maintenir un équilibre entre notre monde, le leur, celui de la faune et celui de la flore. Un équilibre vital pour tous, les êtres qu’on voit, les espèces qu’on connait et tout l’univers de l’invisible et de l’inexploré. Et l’unique moyen d’assurer cela est de transmettre le savoir de façon équitable entre chaque clan afin qu’aucun ne domine.
C’est ce qu’explique Erwan, le messager, le représentant de notre espèce à Pauline, jeune étudiante en maitrise de sciences eco. Les voilà, nos protagonistes ! Je prends deux minutes pour vous détailler ces personnages…
Erwan, jeune homme métisse, qui habite dans la forêt bretonne loin de tout village. Solitaire, il vit simplement, entouré d’objets étranges et a pour seul contact Maitre Cristobal. Deux objets sont précieux au delà de tout pour lui : les larmes d’abeille et le grimoire du Maitre suscité. Je ne vous en dirai pas plus….
Pauline qui, quelques semaines avant les partiels de fin d’année, décide de se mettre au vert pour réviser. Pour cela, son amie Gaëlle lui prête le lieu idéal : une maison, perdue en campagne bretonne, auquel elle accède en enchainant voyage en train et trajet en Deuch… C’est elle, cette machine à 4 roues maudite, qui est à l’origine de toute cette aventure : elle est tombée en panne face à la maison d’Erwan et les nuits sont froides s’il faut dormir dehors. Pauline accepte donc d’être hébergée chez ce nouvel ami, mais uniquement pour une nuit…en tout cas c’est ce qu’elle imaginait !
Je m’arrête là et vous laisse plonger dans ce merveilleux conte philosophique…
Juste une question à se poser pour bien commencer la nouvelle année : en quoi oeuvrez-vous, oeuvrons-nous, pour l’équilibre entre les différentes espèces et leurs différents mondes ?
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