Voici les deux derniers titres pour l’instant de cette collection. Des titres dans lesquels riment cette fois super pouvoirs et vie moins ordinaire.
L’amazone la plus célèbre des comics a le droit aussi à une version plus moderne. Le pitch reste le même pour sa naissance et sa vie. Ici, c’est toujours le pilote Steve trevor qui va lui permettre de quitter sa ville à l’encontre de son peuple et de sa mère. Évidemment on voit facilement l’allégorie sur la mère possessive qui craint pour sa fille puis le crush qui va permettre à la dite fille de quitter le cocon familiale. Cependant i ce n’est que la première partie et sa mère acceptent son choix même s’il est dur pour elle. Initialement publié sur le web, ce tome réunit les 9 issue et livre une facette de Diana toujours intéressante à exploiter, celle de la difficulté de porter le titre de Wonder Woman. Le design de Diana est d’ailleurs très réussi et donne vraiment l’impression d’une amazone robuste que fouette ce qui renforce le décalage entre sa force physique (et mentale) et son incertitude émotionnelle.
Nous sommes ici aussi dans la quête de l’identité. Kara a un grand manque de confiance en soi. Sa vie dont elle ignore une partie est pourtant agréable avec ses parents adoptifs. Ses deux amies Jennifer et Dolly, sont super avec elle. Mais Kara a un vide. Elle a besoin de prendre confiance en elle. Si en plus, elle perd ses pouvoirs, qui sera-t-elle ?
Une intéressante recherche de soi et de sa confiance pour une super héroïne qui semble au départ omnisciente. Une belle histoire parsemée de rebondissements.
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