L'amour fou
Un petit incontournable littéraire
Chèr.e.s lecteur.ice.s, il me semblait primordial de débuter mes chroniques #FnacBlog par un petit livre passe partout qui me tient à cœur… Vous l’avez probablement déjà reconnu. Ce n’est rien d’autre que le merveilleux, le magnifique, et pourtant très simple ; En attendant Bojangles, d’Olivier Bourdeaut.
Mais pourquoi commencer une chronique par un livre déjà vu, vu et revu ? Qui, de plus, a eu la chance d’être adapté au cinéma en janvier ce début d’année.
La réponse est simple : il ne faut pas passer à côté !
Bon, pour la nouveauté on passera, le livre est publié en 2016.
Pour l’originalité par contre !
La lecture est rapide, une heure ou deux tout au plus. Le style d’écriture est simple mais vraiment accrocheur. Vous vivez à travers les yeux d’un petit garçon, la relation atypique d’une famille française.
Le père Georges, avec son petit boulot en tant « qu’ouvreur de garage ».
L’enfant narrateur, dont on ne connait jamais le prénom, admire avec ses petits yeux, l’amour de ses parents, leur folie… Le récit est d’ailleurs rythmé au fil de ses rimes.
La mère, Louise, Georgette, Hortense, Renée ou même Marguerite, change de prénom au gré de ses humeurs, mais ne manque pas d’affabulation pour nous faire vivre des péripéties farfelues.
Sans oublier… Leur improbable animal de compagnie, Mademoiselle Superfétatoire, l’oiseau exotique en provenance de Namibie d’une élégance sans pareil. Et bien sûr, l’Ordure, l’ami sénateur, peut être le seul personnage politique pour lequel vous aurez de l’attachement prochainement !
Ce livre mérite les honneurs qui lui sont attribués, il s’accompagne d’un vieux vinyle de Nina Simone, Mr Bojangles pour être sur la même fréquence. Et pourquoi pas d’un Gym Tonic, oui oui, Gym Tonic. Vous verrez, c’est plus sympa. Laissez ce trio familial vous faire sourire avec leur fantaisie et laissez votre imagination se perdre entre les mots funambulesques d’un premier roman époustouflant.
Si vous ne l’avez pas encore lu, foncez !
Il existe plusieurs déclinaisons de cette œuvre, les voici :
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