Désolé de commencer ce billet par une phrase aussi banale, mais pour parler du dernier Sunstone, difficile d’écrire autre chose. Donc des critiques avec un grand F puisque les femmes y sont à l’honneur.
L’achat de ce livre est-il indispensable lorsque vous avez déjà les culottées de Pénélope Bagieux ?
C’est la vraie question que vous devez vous poser lorsque vous verrez ce livre. La réponse est oui et non.
Oui, car il y a quelques destins de femmes qui n’ont (pas encore) été évoqués par Pénélope Bagieux. Oui, car les portraits des femmes sont « plus « riches que dans les culottées. Et c’est ce qui m’amène au non. Non, car l’approche est beaucoup plus classique et scolaire faisant penser à un travail de fin d’étude légèrement imposée.
Maintenant, avoir deux séries qui traitent du même sujet ne fera pas rougir votre bibliothèque ! À long terme, le côté mieux vulgarisé de Pénélope Bagieux devrait mieux perdurer de plus accessible à des personnes
Cette histoire se passe avant celle relatée dans les 5 tomes de la série principale, on découvre la relation entre Alan et Anne. C’est la découverte pour Alan et Anne de l’univers BDSM et surtout la recherche de leur quête personnelle. C’est l’héroïne de l’histoire principale qui va écrire l’histoire personnelle d’Alan. Le titre du livre qu’elle écrit signifiant « pitié ».
Nous retrouvons avec beaucoup de plaisir les protagonistes de la série principale dans cette histoire qui nous permet d’en comprendre plus sur le personnage d’Alan. C’est aussi la critique d’une société trop puritaine. Une réflexion donc sur le fait d’avoir des goûts différents de la « norme ».
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