Un bateau de croisière mise en quarantaine du fait de la présence d’un virus, ça ne vous rappelle rien ? Ici, on ajoute un scientifique qui travaille pour les services secrets français, Guillaume Roblès (et ce n’est pas un festival) sur un virus. Du jour au lendemain, il quitte tout pour faire une croisière en méditerranée, mais voilà il est porteur d’un virus mortel capable de décimer un continent entier ! Le paquebot est mis en quarantaine et les passagers qui au début ne comprennent pas vont devoir enquêter et survivre. Une histoire sous forme de huis clos tout à fait passionnante même s’il est vrai qe le déroulement peut sembler assez classique pour ce genre de pitch. À lire et à finir de critiquer lors de la sortie du tome 2.
Ici le virus fait place nette avant les extra-terrestres. L’humanité a été en partie tuée par un virus. Des extra-terrestres ont par la suite débarqué, mais sans créer d’interactions avec les humains. D’ailleurs, les terriens au contact de ces créatures ont des nausées, des migraines.
L’humanité va se découper alors en 3 catégories :
– ceux qui cherchent à s’adapter au contact des extra terrestres
— ceux qui les vénèrent comme des dieux
et ceux qui forment une résistance violente contre ces envahisseurs.
Nous suivons, un homme qui a perdu sa femme morte du virus et qui pense avoir perdu sa fille unique. Il tente de survivre de façon pacifique, mais le destin va s’acharner sur lui. Un destin violent incarné par sa fille qui n’est pas morte et a rejoint la résistance.
La narration parsemée de flash-back est l’atout majeur de la série. Imaginez que le virus de la grippe aviaire H1N1 aurait muté et serait devenu encore plus mortel. Ce virus provenant des oiseaux, difficile de le contenir. Nous suivons un ancien soldat Jan et un robot militaire doué de parole, Marguerite. Leur conversation nous permet de comprendre la situation et leur destination. Un moyen habile pour avancer dans l’histoire. Une histoire certes classique, mais extrêmement bien écrite mélangeant réalité et science-fiction.
Voilà ce rapide tour est fini. Je n’ai pas parlé des manga comme Seraph of the end, Virus, Contamination et Infection, car généralement ceux-ci sont assez présent sur les réseaux sociaux.
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