Avant sa rencontre avec Jodorowsky qui bouleversera sa vie, il écrit le regard de l’apocalypse.
Une histoire intéressante qui n’est pas de science-fiction, mais celle d’un homme, Dan Curry, qui découvrira au Vietnam un enfant capable de tuer en un seul regard, un peu comme dans le film Scanners. Des meurtres dans les triades en 1989 à Los Angeles va donner l’envie à Dan devenu auteur de romans à succès de partir à sa recherche.
Une histoire en 1 tome qui dépayse par rapport à ses habituels récits.
Avant sa rencontre avec Jodorowsky qui bouleversera sa vie, il écrit le regard de l’apocalypse.
Une histoire intéressante qui n’est pas de science-fiction, mais celle d’un homme, Dan Curry, qui découvrira au Vietnam un enfant capable de tuer en un seul regard, un peu comme dans le film Scanners. Des meurtres dans les triades en 1989 à Los Angeles va donner l’envie à Dan devenu auteur de romans à succès de partir à sa recherche.
Une histoire en 1 tome qui dépayse par rapport à ses habituels récits.
Ce monument de la bande dessinée de science-fiction a de par la psychologie des personnages, l’intrigue et les dessins ont révolutionné en son temps le genre. Juan Gimenez obtient enfin un statut d’auteur reconnu et peut ainsi côtoyer ses idoles comme Moebius.
Chaque tome que compose la série de la caste des metabarons (il y en a 8 pour le premier cycle) parle d’un metabarons. La planète Marmola une particularité, elle possède une huile, l’épiphyte ; qui permet de déplacer des tonnes de pierre. C’est sur cette planète que vivent les metabarons, une classe de formidable guerrier, peut-être les plus grands de l’univers.
Lorsque suite à un accident sur le premier Meta-Barton Othon, le secret de l’huile est révélé pour le sauver devant des marchands impériaux venus acheter du marbre.
S’ensuit une invasion, mais les metabarons n’ont pas dit leur dernier mot, après tout ce n’est pas les meilleurs guerriers pour rien même s’ils ne sont que 150 guerriers.
Même si l’histoire nous rappelle un peu Dune de Frank Herbert avec l’huile qui a remplacé l’épice, cette saga est majestueuse tant au niveau des dessins et du scénario. Un classique du genre.
S’ensuivit et en parallèle de cette saga, d’autres récits de lui dont
Moi, Dragon chez Glenat
une histoire dans la pure veine d’héroïque fantasy. 200 pages de magie et de sang pour une histoire certes un peu classique, mais qui se lit très bien
Segments avec un scénario de Richard Malka aux éditions Glenat
Un univers Space Opera dans lequel les humains sont rassemble suivant un test psychologique. Chaque groupe alors est confiné sur des planètes…
Ainsi s’achève la rétrospective express de cet ancien dessinateur industriel devenu par sa volonté un des plus grands illustrateurs et dessinateurs de science-fiction des années 90.
Laisser un commentaire