Cette fois, ce sera policier et encore artistique avec deux nouvelles bandes dessinées qui méritent toute votre attention.
Je sais c’est un titre qui n’est pas nouveau, mais je n’ai pas eu le temps de dire tout le bien que je pensais de ce récit fini en deux tomes.
Imaginez que vous pouvez communiquer avec les objets ? Jacques Peuplier a ce don et ça tombe bien, car il a besoin d’informations. La fille des bas-fonds de Villevermine a disparu et il doit la retrouver. Un sacré pari pour ce détective Bougon qui évolue dans une ville qui porte bien son nom.
Julien Lambert vient du 7e art et il a déjà toqué à la porte du neuvième avec son Edwin le voyage aux origines. Avec Villevermine, il fait une entrée fracassante et très remarquée grâce à un scénario intelligent et des personnages bien définis. Un diptyque donc à lire avec beaucoup de plaisir et à posséder cela va de soi.
Le pont des arts, petites histoires de grandes amitiés entre peintres et écrivains de Catherine Meurisse chez Sarbacane
Vous êtes-vous déjà demandé ce qu’un écrivain pourrait dire à un peintre s’ils se croisaient?
Réédition de l’album de 2012, agrémenté de pages en plus, Catherine Meurisse s’amuse à nous livrer des histoires sur les relations entre écrivains et peintres.
Amusant et passionnant, vous découvrirez les liens entre Proust et « la vue de Delft » de Vermeer, Zola et Cézanne (et les impressionnistes), George Sand et Delacroix, Diderot et Greuze, Apollinaire et Picasso… Une rétrospective de la littérature et de l’histoire de l’art réalisée avec humour. Un livre a rangé à côté d’au fil de l’art de Gradimir Smudja.
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