Salut p’tit chat,
Ça y’est ! Je suis tombé dans l’ambiance de Noël.
Comme ça, comme par magie (de Noël) !
J’étais tranquillement chez moi, quand chouchou à débarqué dans le salon, avec un sapin qu’il venait d’abattre à mains nues ! (naaaan, j’décoooonne, c’est du plastique ! Chez nous, c’est moi qui ouvre les pots d’ cornichons !)
Alors oui hein, on a fait le sapin de Noël. Enfin, avec deux guirlandes lumineuses et du thé.
Enfaite, on a surtout beaucoup regardé les films de Noël. C’est là que j’ai eu l’idée d’un petit article sur le sujet tant attendu. Parce que je sais qu’au fond, on a tous hâte que Noël arrive ! (certain plus que d’autres…)
Allez ! Je sais que tu crève d’envie de voir la tête de mon sapin de Noël guirlandé/enguirlandé pas fini.
Alors tiens ! C’est cadeau !
Dans la magie de Noël
Mais bref, revenons à nos lutins : oublie tout ce que tu sais sur le Pôle Nord, sur le Père Noël et tout ce qui va avec !
Ici nous allons suivre William Molleroue, un garçon pas comme les autres qui vit seul avec son père, qui lui non plus n’est pas un adulte comme les autres : il voue un véritable culte à Noël. Et c’est peu dire, car secrètement dans son placard, il cache un sapin de Noël, et ça, toute l’année !
William, sa passion à lui, c’est les dinosaures. Et son rêve le plus cher, c’est d’en avoir un vrai, rien qu’à lui. (t’as pigé l’titre ?)
Coïncidence ? Les lutins du Père Noël sont tombés nez-nez avec un drôle d’œuf…
Un roman Magiquement drôle
William se coucha […] mais pas avant d’avoir disposé une tartelette pour les rennes et une carotte pour le Père Noël […] Je parie que vous vous dites que le Père Noël doit plutôt aimer les tartelettes, et les rennes, les carottes, mais comme le dit chaque année M. Molleroue, avec un air entendu : « C’est l’erreur la plus fréquemment commise, à propos de Noël ! »
Tom Fletcher réuni dans ce roman ces deux passions : Les dinosaures et Noël.
Non seulement c’est réussi, mais c’est aussi bourré d’humour à l’anglaise of cours. Un univers loufoque qui nous rappel celui de Roald Dahl ou celui de David Walliams.
Bref, un roman dès 9 ans, à lire seul ou en lecture du soir pour les plus petits car les chapitres sont courts.
Voilà, j’espère que cette petite découverte t’a plu !
Et n’oublie pas « Tous les matins, en s’habillant, M. Molleroue admirait son sapin de Noël secret et se disait : «Chaque jour qui m’éloigne de Noël dernier me rapproche de Noël prochain. » C’est mots l’aidaient à tenir tout au long de l’année. »
Bisous bisous !
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