Le monde très confidentiel et caché des Urbex ne s’offrira pas à vous facilement. Les lieux sont tenus secrets car il est illégal d’investir des bâtiments, même abandonnés. Ceux-ci étant souvent interdits d’accès.
De plus, il est nécessaire d’être bien équipé, notamment en lumière, car les lieux fermés sont souvent sombres, volets clos. Seules quelques brèches subsistent. Libre choix aux plus déterminés de s’y engouffrer.
Friches industrielles, hopitaux désaffectés, vous entrez « à vos risques et périls » mais « le jeu » en vaut parfois la chandelle… pour obtenir le cliché rare mais aussi pour témoigner d’un héritage (patrimoine culturel, ouvrier…).
Sans compter que de nombreux artistes de rues investissent ces espaces pour créer, imaginer, s’exprimer, stimuler leur pensée.
Les photographes également affirment leur style, par des montages, de la mise en scène, ou plus simplement de la photo « brute », du reportage, de la photo témoignage… il y en a pour tous les goûts. Une seule éthique: ne rien détériorer et respecter le lieu.
Les explorateurs modernes ont pris leurs quartiers « désaffectés » pour témoigner, transmettre et ne pas oublier des lieux chargés d’histoires, de mémoire, de symbolique ou encore de mystères.
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