En cette fin d’année 2011, nous allons prendre le temps de faire une rétrospective des jeux qui étaient attendus mais qui n’ont pas retenu l’attention escomptée et aussi déçu. Voici le top 3 des jeux ratés de l’année :
En troisième position : El Shaddai : Ascension of the Metatron !
Une belle médaille de bronze pour ce jeu très attendu par la communauté de joueurs sur plateforme mais qui ne parvient pas à confirmer par le contenu du scénario ou même de séduire les prétendants curieux du titre. Pire, les intéressés se sont retrouvés dégoutés. La bande son est inexistante, les menus sont restreints et l’enthousiasme diminue au fil des minutes… et graphiquement…c’est beau mais pas terminé…dommage…
Ma médaille d’argent je la remets au célébrissime jeu de combat Dragon Ball Z Ultimate Tenkaichi. Ce titre porteur issu du manga d’Akira Toriyama s’essouffle malgré un effort l’an passé. En effet, ici, tout a été revu en moins bien : Animations minimums, scénario redondant, et la cerise sur le gâteau est ce qui devait être son point fort : son gameplay. Les corps à corps sont inexistants, les personnages manquent d’aboutissements, en bref bâclé… Déjà qu’un nouveau jeu de la licence DBZ sort chaque année, le passionné est déçu sur tous les points. Et pourtant ce n’est pas le budget qui manque….
Et la palme d’or de cette année de jeux ratés revient évidement à ce malheureux Duke Nukem Forever. Déçu forcément, vu le niveau des FPS de nos jours. Le titre « Duke Nukem » ne suffira pas à le défendre. L’histoire peu captivante, le gameplay est lent, Duke est lourd et le graphisme n’a pas été abouti. Avec autant de concurrence de jeux de tir, Duke pouvait et aurait dû s’imposer. Fort de sa réputation pour les joueurs des années 90, Duke représente pour eux un incontournable dans le genre. Mais la magie n’opère pas, le nostalgique que je suis fût triste de voir un beau souvenir tâché… 15 ans d’attente… il y a de quoi être déçu.
J’aurai pu parler d’autres comme : Brink, Mindjack, ou encore Cursed Crusade (injouable) mais moins attendus donc bon, un peu d’indulgence et laissons l’indifférence faire son travail.
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