Lors de sa sortie, le 31 janvier dernier sur xbox360 uniquement, Omerta : City of Gangsters n’as pas franchement casser la baraque dans les tops ventes. Vu que le jeu a été développé par Haemimont Games et Kalypso Media, les mêmes qui ont fait la série Tropico, je ne pouvais pas le laisser en rayon sans le tester. Bonne pioche : le titre reprend à la fois le style tour par tour de XCOM Unknown Enemy (que j’aime beaucoup) tout en incorporant une ville de gestion style Tropico.
La ville en question est Atlantic City. Vous y incarnez un chef de clan dans lequel vous pouvez choisir de multiples facettes. Sans parler de l’avatar, des choix de réponses influenceront sur le caractère de votre chef de clan. Plutôt physique ? porter sur la triche ? avec plus de cran ? de nombreuses variétés de caractère. Une fois fait, vous retrouvez la ville, en vue du dessus. Vous pouvez alors recruter des hommes de mains qui, avec vous, pourront rentrer dans les battisses, afin de voler de l’argent pour vous. Chaque interaction peut se mener de différentes façons. En effet, parfois, vous devrez soudoyer le propriétaire des lieux, qui vous coutera donc plus d’argent, d’autres fois vous opterez pour les effractions vous couterons du matériel, et des fois la prison.
Jusqu’ici le jeu montre un simple jeu de gestion mode gangster des années 20 mais lorsque vous avez bien développer ma ville à votre guise, une nouvelle épreuve commence. Lors de mission, le jeu change et devient un jeu tactique tour par tour. En effet, vous retrouvez votre personnage principal et ses hommes de main, en vue de dessus dans un décor bureautique, dont l’action sera de sauver un homme de main emprisonné, ou des fois voler des documents. Chaque personnage peut alors se déplacer dans un champs limité. Il peut aussi attaquer pendant son tour avec une arme à feu ou avec ses poings suivant le personnage.
Une fois la mission réussit, l’expérience des personnages grimpe, et de nouvelles aptitudes sont utilisables. Comme dans XCOM Unknown Enemy, plus vous gardez l’homme de main en vie longtemps, plus il s’améliore et devient robuste.
Que ce soit la phase gestion, ou la phase tactique, le jeu possède de nombreux atouts. En phase gestion, plus vous avancerez dans l’histoire et plus la gestion de la ville augmente et devient capricieuse. Nombre de fois, vous recommencerez la mission car vous aviez acheté un local trop tôt mais qu’il fallait garder dans un autre but. L’argent se fait rare parfois aussi, alors le joueur doit faire des choix intelligents pour ne pas se retrouver à cours de fond ou de matériel. En phase tactique, vous comprendrez rapidement l’importance des placements des personnages. Nombre de fois aussi, vous recommencerez la mission car vous aviez oubliez de bien placer un personnage sur la map. Puis l’intérêt se poursuit car vos personnages se renforcent et proposent des options de combats parfois bien propice.
Mélangeant le tactique tour par tour et l’aspect gestion de ville, Omerta : City of Gangsters n’a cessé de surprendre et de m’envoyer dans les années 20. L’ambiance et le graphisme sont très réussit. Le contenu est la boîte secrète du jeu. Il nous surprend à chaque mission, et il nous tend sur l’addiction. Moi c’est mon coup de cœur de ce début d’année. je l’ai jouer sur Xbox360, et il sort sur PC cette semaine.
Laisser un commentaire