Le 30 Septembre prochain sort Forza Horizon 2, sur Xbox One et Xbox 360. Pour l’avoir testé, je vous livre ici mon feedback. En voiture Simone.
On connaissait déjà Forza Motorsport 5 sur la One, par Microsoft Studios & Turn 10. Quasiment irréprochable en dépit d’un manque cruel de nuages noires et de gouttes de pluie sur le bitume pour parfaire l’expérience de simulation référence du genre.
C’est maintenant chose faite dans Forza Horizon 2 qui se veut plus un jeu de courses de voitures en mode freestyle et non de simulation. Mais la météo, la pluie, la chaussée pleine d’eau, la nuit, le crépuscule et les orages rendent l’expérience particulièrement saisissante. Première grosse claque lorsque l’on commence ce jeu, c’est bien les graphismes. Le choix des voitures étant conséquent, la qualité de la réalisation est irréprochable. Ou presque ! Le degré de collision et gestion des dégâts à quant à lui été amoindri. On ne le déplore qu’à moitié et on comprend facilement pourquoi : les hors pistes et les obstacles en plein milieu des champs sont beaucoup plus percutants, lancés à 200 km/heures ce qui détruirait clairement la calandre de ces superbes voitures de luxe. Et pas que !
Côté carte, c’est relativement grand et même à pleine vitesse le sentiment d’open world est présent.
Côté gameplay, rien à redire. Rien ne change vraiment. Le bouton Y pour rembobiner l’action est toujours fidèle au poste. Le sentiment de vitesse est bien présent, voire plus que jamais mais ce qui est fatal c’est bien de se surprendre à se dire » wow c’est beau » pour au final ne plus trop se concentrer sur la route et percuter un autre véhicule. Rien de grave, au contraire !
Coloré, on reste un peu sur sa faim dans les radios proposées où les titres ne sont pas franchement engageants. Le mode en ligne est à recommander au plus haut point ! Le sentiment de liberté prime quoi qu’il arrive et on ne nous a pas fait l’affront de mettre des spectateurs en 2D cette fois. L’histoire est somme toute banale. Dans la droite lignée du premier Forza Horizon. On aime ou on aime pas, mais tout est fait pour vous mettre dans l’ambiance » pulse » agrémentée d’adrénaline sous la sensation de vitesse qui se fait bien ressentir.
Pour une fois, le cliché macho avec de nombreuses filles aux formes pulpeuses ne vient pas salir la performance graphique de ce titre : il n’y en a pas ! Et c’est tant mieux car ça aurait vraiment fait tâche.
Le fait de voyager dans un monde libre déroute un peu de prime abord mais on s’y fait relativement vite.
Enfin je n’en dis pas plus, je vous laisserai vous faire votre propre opinion, mais pour ma part je suis conquis. Je repars sur les routes italiennes défricher une vigne avec ma Lamborghini.
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