Allez hop, sortons un peu de l’actualité (chargée) du moment et jetons un regard en arrière pour quelques minutes. J’aimerais revenir sur un jeu qui, à mon sens, n’a pas eu le succès qu’il méritait et qui raccourcit mes nuits depuis quelques mois déjà : j’ai nommé Borderlands.
Votre premier réflexe en regardant les quelques images disponibles sur le net sera certainement « Gosh, encore un FPS !« . Erreur jeune padawan ! En même temps il est facile de tomber dans le piège. Borderlands n’est donc pas qu’un jeu de shoot. Il faut en réalité le caser dans la catégorie des hack n’ slash, tout comme Diablo ou Titan Quest. On retrouve donc le train-train typique de ce genre de jeu, avec massacre massif de bad guys entre deux validations de quête dans le village du coin. Et évidemment la course à l’équipement ! Et c’est là que Borderlands donne dans la démesure, avec quelques centaines de milliers d’armes à disposition. Fusil à pompe explosif, pistolet à balles électriques, triple lance roquette corrosif… Pas de doute, y a le choix !
Autre originalité du titre : sa patte graphique hors norme ! Le jeu est entièrement en cell shading avec une direction artistique résolument tournée vers le comics. Le ton général totalement décalé ajoute encore à la sensation de jouer à un titre pas prise de tête et décomplexé.
Seul c’est déjà très bien. A plusieurs c’est évidemment mieux ! Les développeurs l’ont bien compris et ont construit le jeu autour du mode coopératif. Là encore vous avez le choix : en ligne ou en écrans séparés jusqu’à quatre joueurs. Les différentes classes de personnages étant complémentaires, et la qualité de l’équipement à ramasser augmentant proportionnellement par rapport au nombre de joueurs connectés, je ne saurais que trop vous conseiller l’expérience !
Borderlands fait partie des ces jeux résolument atypiques : ça passe ou ça casse. Malgré tout il mérite largement qu’on s’intéresse à lui, et pour peu que vous accrochiez, vous risquez de voir les heures de jeu s’accumuler par dizaines. Pour ma part j’ai arrêté de les compter !
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