Dommage que ce film ait été un bide au cinéma. Il méritait pourtant beaucoup mieux que cela!
Peut-être le public français-malgré la popularité d’un Kaamelott- ne goûte pas au pastiche ou à la parodie style Mel brooks?
Il les vrai que les films « d’époque » sont plus rares dan le paysage français qu’à Hollywood.
Bref, c’est l’occasion d’un rattrapage bienvenu en dvd(ou Blu-Ray).
Mais d’abord l’histoire:
Nous sommes en l’an de grâce 1550, en Bretagne. Philibert(Jérémie Rénier, pur sosie de cloclo), un grand dadais idéaliste de vingt ans se destine à reprendre la production d’artichauts de son père et préserve sa virginité pour sa future épouse.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Sur son lit de mort, son père lui apprend qu’il est en fait le fils de Fulgence Bérendourt de Saint- Avoise, un gentilhomme assassiné par Clotindre(Alexandre Astier) un méchant bourguignon de la pire espèce.
Dès-lors, Philibert n’a qu’une idée en tête venger l’honneur de son père en tuant le vilain bourguignon.
Tel un Don Quichotte, sa route sera semée d’embûches notamment de donzelles toutes plus hardies les unes que les autres. Et lorsqu’il croise un filou, Martin(Manu Payet, parfait), qui va le dépouiller de tous ses biens, malgré celà, Philibert dans sa naïveté extrême décide d’en faire son valet.
A l’instar de la série des OSS avec Jean Dujardin, « Philibert » reprend le genre des films de cape et d’épée là où l’avaient laissé Jean Marais Alain Delon ou Errol Flynn dans nos souvenirs d’enfance.
Les couleurs sont »flashy » à souhait en une version revue et corrigée du technicolor d’antan.
Le film fait référence à tous les codes du genre, mais en les détournant habilement.
Tout est là; combats à l’épée sur des escaliers, collants et collerettes ainsi que de viriles accolades et des éclats de rire. Mais aussi des images accélérées et des maquettes riquiqui(la galère).
Pourquoi bouder son plaisir?
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