Comme il est doux de pouvoir découvrir des films aussi timbrés que celui dont je vais vous narrer les mérites sur ces quelques lignes ! En dehors des festivals -durant lesquels, et c’est devenu légion, nous avons le bonheur de tomber sur quelques petits chefs d’oeuvre -, il aurait sans doute été impossible de mettre la main (plutôt les yeux) sur cet ovni, boosté aux amphétamines. Surtout pas sur notre marché vidéo dont la propension à nous proposer des métrages barrés venus de pays (dans lesquels on n’a pas besoin de 250 millions pour faire un excellent film) moins « vendeurs », se faisant de plus en plus fébriles ! Alors, heureusement, on a notre petit festival engagé à nous, sortant l’artillerie lourde pour les malades que nous sommes, cherchant l’énergie des films Z partout dans le monde car, tant qu’il y a du coeur et de l’envie, il y a de l’espoir !
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