Kirikou et les hommes et les femmes est sorti en DVD et Blu-Ray le 6 février dernier. J’attendais avec impatience ce troisième volet de la série créée par Michel Ocelot. Il faut dire que je suis une fan inconditionnelle de Kirikou et la sorcière.
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Quant à Kirikou et les bêtes sauvages, le format (quatre histoires courtes) m’avait un peu déçu mais les dessins demeuraient inédits et magnifiques.
Alors j’étais assez mitigée avant de regarder le troisième opus. Le format est identique au précedent : la première scène montre le grand-père de Kirikou. Il nous informe (une fois de plus) que tout n’a pas été dit et que notre jeune héros a vécu bien des aventures. On va donc retrouver le petit garçon dans cinq nouvelles histoires. « Nouvelles » est un grand mot. En réalité, nous retrouvons les mêmes décors. Et c’est là qu’est ma plus grande déception.
La plupart des histoires (dont le rythme est assez lent) se déroulent dans le village et à côté de chez Karaba. Seul un lieu est inédit : le désert. Et c’est magnifique. Mais court. J’ai donc été moins éblouie par le graphisme de Michel Ocelot. En revanche de nouveaux personnages font leur apparition : la griotte qui vient raconter des histoires et le monstre bleu qui est en réalité un garçon à la peau blanche et plus précisément un Touareg (habitants du Sahara Central). Ces personnages sont les seuls éléments nouveaux, qui différencient ce nouvel opus des deux précédents.
Vous l’aurez compris, ma déception vient du manque de nouveauté et de surprise. En revanche, Kirikou est toujours aussi attachant, les dessins sont toujours beaux et les messages véhiculés, bien que redondants, ont également leur importance (amour, lutte contre le racisme et l’ignorance). Alors, même si ce n’est pas le film de l’année, les enfants (à partir de 3 ans) passeront un bon moment en le regardant.
Mon coup de coeur porte sur un dessin animé bien différent : Rebelle, le film d’animation des studios Pixar. Il est sorti il y a maintenant plusieurs mois, et c’est bien dommage de ne pas l’avoir regardé plus tôt!
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Mérida est une princesse pas comme les autres : elle n’aime pas les robes, elle se coiffe mal, elle préfère plus que tout tirer à l’arc et chevaucher dans les forêts et surtout, elle ne veut pas épouser de prince. Alors quand sa maman organise un concours pour lui trouver un mari, Mérida n’apprécie pas du tout. Par un heureux (?) hasard, elle rencontre une sorcière. Cette dernière lui confectionne un sort qui va faire changer la reine. Littéralement. Ce rêve qui tourne au cauchemar va précipiter le royaume dans un chaos total. La princesse va tout faire pour mettre fin à cette terrible malédiction. Pour l’aider, elle pourra compter sur ses trois petits frères, aussi turbulents qu’attachants.
Dès les premières secondes, on remarque un décor tout simplement splendide. Les terres sauvages d’Ecosse nous font rêver. A vrai dire, c’est ce que j’ai le plus apprécié. A cela s’ajoutent des personnes très attachants : entre un roi plutôt bourru, des prétendants qui sont des clichés (le pédant, le timide…) et les trois petits frères (des triplés) de Mérida, on ne pouvait rêver mieux! Ces derniers sont mes petits chouchous. A la fois espiègles, turbulents, farceurs et tellement mignons, on ne peut pas leur résister!
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