The Darkest Hour
Et hop! un nouveau film russe ayant assuré un joli buzz sur internet et qui ne tient malheureusement aucune de ses promesses… la méthode Sarko en quelques sortes. Si le début fait penser à la guerre des mondes, en tout cas de loin, le reste est d’un ridicule profond qui fait mal à voir et que l’on a, comme d’habitude avec ces productions d’action/sf de l’Europe de l’est, une peine ahurissante à suivre. Les trois bonnes idées du film étant ratatinées par le manque de moyens, une histoire qui part dans tous les sens et des acteurs qui se demandent bien ce qu’ils foutent ici. Heureusement, ça ne dure que 1h30 !
Dream House
La deuxième bonne grosse bouse de la semaine est un thriller psychologique d’une bêtise à s’en rendre neuneu. Un scénario digne de l’écriture d’un enfant de 4 ans associé à un montage réalisé par une personne probablement aveugle et sourde assure au film une débilité consternante qui fait mal au coeur. Et dire que c’est Jim Sheridan le réalisateur de My left foot et de Au nom du père qui est aussi derrière celui-là! Le coup au coeur est d’autant plus mortel!
The change up
Un métrage comique avec un changement de corps pour deux amis ayant marre de leur vie respective, ça aurait pu faire des remous bienvenus, surtout de la part des auteurs de Very bad trip. Mais non, le tout est d’une vulgarité plus que recyclée, assommante et d’une fadeur exaspérante ! Ryan Reynolds aurait mieux fait de rester dans le cercueil du film Buried car à chacune des ses scènes on prie que son personnage soit victime d’une combustion spontanée. Fuyez pendant qu’il en est encore temps !
2012, 6, bouse, C'est vite dit mais au moins vous le saurez, critique, Darkest Hour, Dream House, film, navets, The change up
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